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Hlízenka sasanková (Dumontinia tuberosa, též Sclerotinia tuberosa) je parazitická vřeckovýtrusná houba, parazitující na rostlině sasance hajní (Anemone nemorosa). Hlízenka sasanková není jedlá houba.
Plodnice, vyrůstající na zemi, jsou drobné, kalíškovitého až ploše miskovitého tvaru, 1–3 cm široké, okrově až kaštanově hnědé barvy. Vyrůstají na 1–5 cm dlouhé tenké stopce, která pokračuje až několik centimetrů pod povrch půdy, kde přechází v tvrdé, tmavé sklerocium.
Hlízenka sasanková roste na jaře, od března do května, v porostech sasanky hajní (Anemone nemorosa), na jejíchž oddencích parasituje; plodnice vytváří zhruba v době jejího květu. Jde o poměrně hojnou houbu, vyskytující se obvykle ve velkých skupinách v lužních lesích a dalších listnatých hájích, v zahradách i jinde, kde roste sasanka hajní.
Hlízenka sasanková (Dumontinia tuberosa, též Sclerotinia tuberosa) je parazitická vřeckovýtrusná houba, parazitující na rostlině sasance hajní (Anemone nemorosa). Hlízenka sasanková není jedlá houba.
Der Gemeine Anemonenbecherling (Dumontinia tuberosa) ist eine Pilzart aus der monotypischen Gattung Dumontinia aus der Familie der Sklerotienbecherlingsverwandten und lebt parasitisch auf verschiedenen Arten von Windröschen.
Der Gemeine Anemonenbecherling bildet stets in der Nähe von Windröschen becherförmige Fruchtkörper (Apothecien). Sie sind mittel- bis dunkel rotbraun und 0,8–2(–3) cm breit. Die Konsistenz ist brüchig, ihr 4–10 cm langer Stiel ist zäh-elastisch, im unteren Teil oft dunkel behaart und oft mit Erdklümpchen und entspringt einem knollenförmigen Sklerotium. Letzteres ist schwarz berindet und innen weiß, wird 15–40 mm lang, 5–25 mm breit und befindet sich meist an den Rhizomen der Wirtspflanze.
Die zylindrisch-keuligen Schläuche (Asci) messen 120–170 × 8–11 μm. Die glatten Ascosporen sind hyalin, lang-elliptisch, meist mit zwei Öltropfen gefüllt und messen 12–17 × 5,5–7 μm. Der Pilz besitzt in der Fruchtschicht (Hymenium) fadenförmige sterile Elemente (Paraphysen).
Das wichtigste Abgrenzungsmerkmal zur nah verwandten Gattung der Sklerotienbecherlinge (Sclerotinia) ist der besondere Aufbau des Excipulums: Die äußere Schicht besteht aus zylindrischen Zellen („Textura prismatica“), die innere Schicht aus einem losen Hyphengeflecht, das in eine gelatinöse Matrix eingebettet ist. Darüber hinaus ist vom Gemeinen Sklerotienbecherling keine Nebenfruchtform bekannt.
Der Gemeine Anemonenbecherling lebt parasitisch auf verschiedenen Arten von Windröschen, v. a. auf Buschwindröschen, aber auch auf dem Gelben Windröschen. Er bildet die Fruchtkörper im zeitigen Frühjahr meist kurz vor der Blüte seiner Wirtspflanze. Durch den derben lagernden Stiel und das bis zu 5 cm tief liegende Sklerotium ist der Pilz mit den von seinem parasitischen Myzel ausgezehrten und dadurch zu schwarzen schlauchförmigen Häuten verwandelten Erdkriechsprossen (Rhizomen) der befallenen Buschwindröschen verbunden. Gerhardt gibt ihn als nicht häufig an; Flück dagegen bezeichnet ihn als häufig. Er ist aus Mittel-, West- und Nordeuropa bekannt. Aber auch aus Japan sind Funde gemeldet.[1]
Der Gattungsname ehrt den Mykologen Kent P. Dumont. Das Artepitheton weist auf das knollenförmige Sklerotium hin.
Ursprünglich von Bulliard als Peziza tuberosa beschrieben, wurde der Anemonenbecherling lange in die Gattung Sclerotinia gestellt, da er ebenfalls Sklerotien ausbildet. Die Mykologin Linda Kohn stellte aber aufgrund des Aufbaus des Excipulums eine eigene Gattung auf. Von Holst-Jensen wurde noch eine zweite Art beschrieben, nämlich Dumontinia ulmariae, die parasitisch auf Mädesüß lebt. Die Annahme einer Zugehörigkeit zu Dumontinia erwies sich als falsch. Die Art heißt gültig Hyalopeziza millepunctata, aus der Familie der Hylopezizaceae. Die Anemonenbecherling-Gattung Dumontinia ist daher monotypisch.[2]
Der Gemeine Anemonenbecherling (Dumontinia tuberosa) ist eine Pilzart aus der monotypischen Gattung Dumontinia aus der Familie der Sklerotienbecherlingsverwandten und lebt parasitisch auf verschiedenen Arten von Windröschen.
Dumontinia is a fungal genus in the family Sclerotiniaceae. The genus is monotypic, containing the single species Dumontinia tuberosa, found in Europe.[2]
The genus name of Dumontinia is in honour of Kent Parsons Dumont (b.1941), an American botanist (Mycology) from the New York Botanical Garden.[3]
The genus was circumscribed by Linda M.Kohn in Mycotaxon Vol.9 (Issue 2) on page 432 in 1979.[1]
Dumontinia is a fungal genus in the family Sclerotiniaceae. The genus is monotypic, containing the single species Dumontinia tuberosa, found in Europe.
The genus name of Dumontinia is in honour of Kent Parsons Dumont (b.1941), an American botanist (Mycology) from the New York Botanical Garden.
The genus was circumscribed by Linda M.Kohn in Mycotaxon Vol.9 (Issue 2) on page 432 in 1979.
Dumontinia es un género de hongos de la familia Sclerotiniaceae. Es un género monotípico, su única especie es Dumontinia tuberosa, propia de Europa.[1]
Dumontinia es un género de hongos de la familia Sclerotiniaceae. Es un género monotípico, su única especie es Dumontinia tuberosa, propia de Europa.
Suur mügarliudik (Dumontinia tuberosa) on tiksikulaadsete seltsi kuuluv seen, oma perekonna ainus liik.
Seen on levinud Euroopas. Liik parasiteerib ülaste risoomidel, moodustab seal sklerootsiume. Kevadel ülaste kasvu ajal arenevad sklerootsiumitel seene viljakehad – lehtereoslad. Viljakehasid moodustab seen eriti ohtralt häiritud pinnasega paikades.
Kevadisel ajal kasvavad metsades suure mügarliudikuga sarnased urvaliudikud (Ciboria spp.). Nende viljakehad on õrnemad ja arenevad sarapuude, leppade, kaskede või pajude veidi mattunud eelmise aasta urbadel.
Suur mügarliudik (Dumontinia tuberosa) on tiksikulaadsete seltsi kuuluv seen, oma perekonna ainus liik.
Dumontinia
Dumontinia tuberosa, la Sclérotinie tubéreuse, est une espèce de champignons ascomycètes de la famille des Sclerotiniaceae. Il s'agit de l'unique espèce du genre Dumontinia. Cette petite pézize brune qui ne dépasse pas trois centimètres de diamètre est un parasite phytopathogène de certaines Anémones, principalement l'Anémone sylvie, son long pied se rattachant profondément à un sclérote, c'est-à-dire à un amas sous-terrain de mycélium dur et noir, formant un manchon autour d'un vieux rhizome dont le champignon se nourrit et constituant une réserve nutritive depuis laquelle se développe la fructification printanière. L'espèce est présente sur l'ensemble de l'écozone holarctique.
Il s'agit de l'une des pézizes les plus anciennement connues[3]. Elle est décrite pour la première fois par le botaniste allemand Johannes Hedwig en 1788, sous le nom Octospora tuberosa[4]. Mais elle avait été récoltée et illustrée plus de dix ans auparavant, en 1777, par son compatriote Johann Jacob Reichard (de). L'espèce est recombinée dans le genre Peziza en 1790 par l'Écossais James Dickson puis formellement décrite en 1791, par le Français Pierre Bulliard[5], ce qui constitue son basionyme. Tout au long du XIXe siècle, son sclérote, son parasitisme sur les rhizomes d'Anémones et ses conidies attirent l'attention de mycologues de renom comme les Français Edmond Tulasne, Hector Léveillé et Jules de Seynes ou le Prussien Anton de Bary[3].
Cette espèce est recombinée en 1870 dans le genre Sclerotinia, qui regroupe les pézizes produisant des sclérotes. La mycologue américaine Linda Myra Kohn créé un genre distinct en 1979 pour rassembler les espèces de Sclerotinia à la structure cellulaire de l'excipulum particulière, c'est-à-dire aux cellules extérieures des apothécies à la texture prismatique et à la partie interne composée d’hyphes détachés dans une matrice gélatineuse[6],[7]. Sclerotinia ulmariae, qui produit un sclérote sur la Reine des prés est également recombiné dans ce genre par Kohn sous le nom Dumontinia ulmariae. Cependant, son nom correct est depuis 1970 Hyalopeziza millepunctata, classé dans la famille des Hylopezizaceae. Le genre Dumontinia est donc monotypique[8],[9].
Le nom de genre Dumontinia est un hommage au mycologue américain du Jardin botanique de New York Kent Parsons Dumont (d), collègue de l'auteure[10]. L'épithète spécifique « tuberosa » fait référence au sclérote, tuber signifiant « truffe, racine bombée »[6].
En français, l'espèce est nommée de son nom vulgarisé et normalisé « Sclérotinie tubéreuse[11] ». Le nom vulgarisé « Pézize tubéreuse » est également employé aux XVIIIe[5] et XIXe.
La Sclérotinie tubéreuse produit une apothécie d'abord profondément bombée, puis en forme de cruche ou de coupe étalée. Elle mesure de 10 à 30 mm de diamètre. Les surfaces interne et externe sont lisses, la marge est incurvée, droite et régulière et l'ensemble est uniformément coloré de brun fonçant à mesure du mûrissement, l'extérieur étant parfois un peu plus clair et finement pruineux. Sa chair est cireuse, cassante et brunâtre. Le tout est prolongé par un long pied fin, mesurant de 30 à 100 mm, plus ou moins déformé et partiellement enfoui dans le sol. Il prend naissance d'un sclérote souterrain globuleux ou en forme de haricot, noir à l'extérieur, blanc à l'intérieur, dur et résistant. Sa taille varie de celle d'une tête d'épingle à celle d'une noisette et peut atteindre 15 mm de long[3],[12],[13],[14].
Dumontinia tuberosa produit des spores elliptiques à ellipsoïdales, lisses, hyalines, biguttulées à quadriguttulées, plus rarement garnies de six guttules et mesurant de 12 à 16 µm de long pour 6 à 8 µm de large. Ces spores sont produites par huit et disposées en une seule file dans des asques cylindriques et clavés qui mesurent de 150 à 180 µm de long pour 11 µm de diamètre et dont l'extrémité bleuie au bleu de méthylène. Les paraphyses sont minces, cylindriques, non cloisonnées et légèrement élargies aux extrémités. Les cellules externes des apothécies présentent une formation prismatique alors que la partie interne est composée d’hyphes détachés dans une matrice gélatineuse. Les hyphes constituant le sclérote sont longs, sinueux, anguleux, disposés sans ordre précis et mesurent 10 à 12 µm de diamètre. Ceux de la partie interne sont hyalins alors que ceux de la couche externe sont noirâtres[12],[13],[14],[11],[7].
La Sclérotinie tubéreuse pousse tôt au printemps, de façon solitaire ou en troupe, parmi les Anémones en fleurs dans les forêts de feuillus humides notamment les ripisylves ainsi que dans les prairies humides[12],[14].
Dumontinia tuberosa est dispersé, peu fréquent à courant, mais jamais en grand nombre[12],[14],[11],[13].
L'espèce est présente en Europe dont les pays francophones, en Asie jusqu'au Japon et en Amérique du Nord[15].
La Sclérotinie tubéreuse a pour plantes hôtes des Anémones, essentiellement l'Anémone sylvie[14], mais également l'Anémone de Grèce et l'Anémone fausse-renoncule[13],[16]. Selon certaines sources, Dumontinia tuberosa peut produire un sclérote à partir des rhizomes de la Renoncule ficaire[7] alors que d'autres le limitent aux Anémones[12],[13],[14]. Au Japon, l'espèce est aussi en association avec la variété japonica de l'Anémone hépathique[17].
Même si l'Anémone n'est pas totalement indispensable à la formation du sclérote, la relation entre la plante et Dumontinia tuberosa reste fréquente[18].
Le champignon est capable d'attaquer le rhizome par sa surface en traversant la cuticule et les parois cellulaires. Si elles existent, les blessures servent également de voie de pénétration. L'infestation concerne toujours les parties âgées du rhizome, à l'opposé du bourgeon terminal et n'atteint jamais les parties récentes ; ces zones anciennes étant souvent plus abimées et plus riches en amidon que les jeunes. Des coussinets d'infection se forment au contact de la cuticule où ils émettent des filaments d'infection qui traversent les couches cuticulaires de l'hôte par l'intermédiaire d'appressoria simples servant à franchir les parois cellulaires. Cependant, il ne forme pas d'haustoria. Le champignon s'y nourrit d'amidon, de pectine ainsi que d'acides aminés tout en délaissant les acides organiques. Bien qu'il soit capable de percer les parois cellulosiques, il ne digère pas la cellulose[19].
Petit à petit, le mycélium forme un manchon qui entoure le rhizome infecté, sans qu'il n'intègre la plante hôte. Cette gaine mycélienne est toujours mêlée d'humus et de débris végétaux et passe facilement inaperçue. S'en suit une phase de dormance hivernale qui se lève au printemps suivant. La grande quantité de mycélium accumulée dans le sclérote permet d'amorcer le développement de la fructification, lequel coïncide, dans le cycle annuel, avec la période de végétation active de l'Anémone[19].
Les spores germent facilement, y compris au sein de la cupule, et produisent soit directement des conidies hyalines et sphériques soit un mycélium très mince, un promycélium, donnant naissance à un grand nombre de conidies[3]. Ces dernières produisent ensuite un mycélium qui cherche à se développer en parasitant le rhizome d'une nouvelle Anémone.
Une fois colonisés et vidés de leur réserve, les rhizomes peuvent subir des infestations secondaires de la part d'autres agents parasites ou saprobiontes, laissant in fine des « rhizomes fantômes » creux souvent rencontrés lors des prospections du champignon[19].
Étant donné que les jeunes rhizomes ne sont pas infectés, le parasitisme est limité et il serait possible de qualifier la relation de commensalisme[19]. Cependant, cette association est généralement considérée comme néfaste aux Anémones. C'est par exemple le cas dans le cas pour l'Anémone hépatique au Japon où il s'agit bien de parasitisme : les feuilles flétrissent en devenant brun rougeâtre alors que le collet et les racines pourrissent en présence du champignon[17].
Sclerotinia sclerotiorum (dont Sclerotinia ficariae est un synonyme courant) est morphologiquement similaire à Dumontinia tuberosa. Cependant, son apothécie est brun doré, ses spores mesurent de 9 à 13 µm de long pour 4 à 6 µm de large et contiennent moins de quatre guttules. De plus, il est saprobionte d'un large éventail de plantes telles que la Renoncule ficaire et de plantes cultivées comme Phaseolus, Daucus, Helianthus et Solanum dans le tissu duquel s'enfonce le sclérote, ce dernier mesurant généralement 30 mm par 10 mm[12],[20],[6],[21]. Dans le cas où Dumontinia tuberosa est parasite de la Renoncule ficaire, les spécimens sont délicats à différencier. D'autres critères plus ténus sont alors utilisables : la couche externe de l'apothécie de Dumontinia tuberosa est composée d'hyphes aux cellules distendues généralement noyées dans un gel et la partie externe du sclérote est composée d'une couche unique de cellules aux hyphes clavés. À l'inverse, la couche externe de l'apothécie de Sclerotinia sclerotiorum est composée de cellules globuleuses et la partie externe de son sclérote est composée de deux à six couches d'hyphes globuleux[6],[21].
Une autre espèce proche, Sclerotinia trifoliorum, est parasite de Fabacées comme le genre Trifolium. Sa coloration tend plus vers le brun rougeâtre, sa taille est plus petite et ses spores mesurent de 13 à 17 µm de long pour 7 à 9 µm de large. Son sclérote noir est de forme irrégulière et peut mesurer jusqu'à 20 mm par 10 mm[12].
Stromatinia rapulum est également une espèce de champignons phytopathogènes morphologiquement similaires mais il parasite les rhizomes du genre Polygonatum. Ses apothécies pédonculées ressemblent à celles de Dumontinia tuberosa et ses spores qui mesurent de 10 à 17 µm de long pour 5 à 8 µm de large, ont des dimensions proches[5],[22]
Dumontinia
Dumontinia tuberosa, la Sclérotinie tubéreuse, est une espèce de champignons ascomycètes de la famille des Sclerotiniaceae. Il s'agit de l'unique espèce du genre Dumontinia. Cette petite pézize brune qui ne dépasse pas trois centimètres de diamètre est un parasite phytopathogène de certaines Anémones, principalement l'Anémone sylvie, son long pied se rattachant profondément à un sclérote, c'est-à-dire à un amas sous-terrain de mycélium dur et noir, formant un manchon autour d'un vieux rhizome dont le champignon se nourrit et constituant une réserve nutritive depuis laquelle se développe la fructification printanière. L'espèce est présente sur l'ensemble de l'écozone holarctique.
Anemonenbekerzwam (Dumontinia tuberosa) is een paddenstoel die in Nederland bedreigd is met uitsterven en daarom op de rode lijst staat. De soort behoort tot de knolbekerzwammen.
De paddenstoel is te vinden in de buurt van bosanemonen en heeft een bruine schotel die dicht tegen de grond gedrukt is. Deze schoteltjes hebben een lange ondergrondse wortelachtige steel die uitmondt in een bruinzwart knolletje. Hierin bevindt zich schimmelweefsel. Dit knolletje is een overblijfsel van de bosanemoon die het voorgaande jaar werd geïnfecteerd door de anemonenbekerzwam.[1] De soort is parasitair en komt voor in de maanden maart en april.[2]
Bronnen, noten en/of referenties
Copëtta fin-a a 3 cm.,brun-a. Gamba dël midem color ò pì scura, a seurt da na "patata" nèira che a së s-ciama sclerotius.
A chërs a la prima, assossià a l'anémon dij bòsch (Anemone nemorosa).
A venta mai mangé un bolè trovà se un a l'é nen un bon conossidor dij bolè!
As peul nen mangesse.
Copëtta fin-a a 3 cm.,brun-a. Gamba dël midem color ò pì scura, a seurt da na "patata" nèira che a së s-ciama sclerotius.
AmbientA chërs a la prima, assossià a l'anémon dij bòsch (Anemone nemorosa).
Comestibilità A venta mai mangé un bolè trovà se un a l'é nen un bon conossidor dij bolè!
As peul nen mangesse.
Dumontinia L.M.Kohn, 1979
Типовой видДумонти́ния (лат. Dumontínia) — род грибов-аскомицетов, входящий в семейство Склеротиниевые (Sclerotiniaceae). Монотипный род, включает вид Думонтиния шишкова́тая (Dumontinia tuberósa).
Плодовые тела — чашевидные, затем почти блюдцевидные апотеции на длинной ложной ножке, до 3 см в диаметре, ножка 3—10 см длиной и 1—3 мм толщиной, цилиндрическая. Окраска плодовых тел однородная, коричневая. В основании ножки, погружённом в землю, имеется чёрный склероций 1,5—4 × 0,5—2,5 см.
Споры в массе белого цвета. Аски цилиндрической формы, 140—175 × 8—10 мкм, содержат 8 спор, каждая из которых одноклеточная, эллиптической формы, с двумя масляными каплями, 12—17 × 6—9 мкм. Парафизы цилиндрические, с булавовидно утолщённым концом.
Пищевого значения не имеет, считается несъедобным грибом.
Плодовые тела образуются одиночно или группами, ранней весной, среди различных видов ветреницы — ветреницы лютиковой, ветреницы дубравной, ветреницы трёхлистной, очень редко — среди чистяка весеннего.
Думонти́ния (лат. Dumontínia) — род грибов-аскомицетов, входящий в семейство Склеротиниевые (Sclerotiniaceae). Монотипный род, включает вид Думонтиния шишкова́тая (Dumontinia tuberósa).