Bahenka živorodá (Viviparus contectus) je druh předožábrých plžů z čeledi bahenkovitých (Viviparidae).
Ulita je tenkostěnná, kuželovitá s velmi klenutými (jakoby „nafouklými“) závity, špičatá a je opatřená víčkem. Má rozměry asi 35 mm na šířku a 45 mm na výšku.[2] Zbarvena je zelenohnědě s třemi podélnými pruhy (zřetelnější jsou u samců, kteří jsou také menší než samice). Bahenky se živí řasami, organickými zbytky a filtrují také plankton. Akvarijní rostliny nepoškozují. Bahenky mají oddělené pohlaví a jsou vejcoživorodé (vajíčka prodělávají vývoj v těle samice a samice rodí živá mláďata) a rodí max 20[zdroj?] mláďat. Většinu času tráví v bahně u dna. Aktivní je většinou v noci.
Bahenka živorodá žije ve volné přírodě ve stojatých vodách s bohatými vodními porosty, v tůních, ramenech, rybnících i v příkopech. V ČR se nejčastěji vyskytuje v nivách větších řek (zejména nadmořské výšky 150–520 m n. m.), zejména v Polabí, Poodří, v moravských úvalech a podobně. Druh celkově v ČR ubývá, důvodem může být ztráta vhodných stanovišť.[3]
Bahenka živorodá (Viviparus contectus) je druh předožábrých plžů z čeledi bahenkovitých (Viviparidae).
Die Spitze Sumpfdeckelschnecke (Viviparus contectus) ist eine Süßwasserschnecke aus der Familie der Sumpfdeckelschnecken (Ordnung Architaenioglossa).
Das Gehäuse misst bis 45 mm in der Höhe und bis 35 mm Breite. Es besitzt 6 bis 6,5 Windungen und ist grünlichbraun bis schwarz. Die Windungen sind stufig abgesetzt und der Nabel ist offen. Der Apex ist zugespitzt. Es sind meist drei rote Bänder auf den Windungen vorhanden. Sie bildet unter unterschiedlichen Lebensbedingungen diverse Formvarianten aus (V. c. f. virescens, V. c. f. nigerrimus und V. c. f. menzeli).
Die Tiere sind wie alle Vertreter der Familie Viviparidae lebendgebärend (ovovivipar). Im Uterus des Weibchens reifen aus 12–30 Eikapseln während des Sommers nach und nach die Jungen heran, die dann meist in einer Größe von 2,5 bis 10 mm die Mantelhöhle der Mutter verlassen.
V. contectus findet man überwiegend in stehenden Gewässern, oft auch in trüben, verkrauteten und veralgten schlammigen Teichen und Weihern (vgl. den deutschen Familiennamen Sumpfdeckelschnecke). Sie kommt auch in sauren Moortümpeln und Sümpfen vor. Damit unterscheidet sich V. contectus von den meisten anderen Viviparidae. Sie ist ein Weidegänger, Filtrierer oder ernährt sich von Detritus. Die Tiere überwintern im Schlamm eingegraben und können bis zu 13 Jahre alt werden.
Die Art kommt in fast ganz Europa vor. Sie fehlt in Norwegen, Finnland und Südeuropa.
Man kann die beiden Arten am besten anhand der Absetzung der einzelnen Umgänge des Gehäuses unterscheiden: Viviparus viviparus hat schlankere, nicht stufig abgesetzte Gehäusewindungen; bei V. contectus sind die bauchigeren Umgänge deutlich stufig abgesetzt. Dadurch macht sie einen spitzeren Eindruck. Der Nabel ist bei V. viviparus deutlich enger, fast geschlossen.
Die Spitze Sumpfdeckelschnecke wird auf den Roten Listen Deutschlands und Österreichs als gefährdet, in der Schweiz als stark gefährdet geführt. Sie wurde in die Vorwarnliste der Tschechischen Republik aufgenommen. Als Gefährdungsursachen gelten maschinelle Entkrautungsmaßnahmen, andere wasserbauliche Maßnahmen sowie Trockenlegung von Gewässern.
Die Spitze Sumpfdeckelschnecke (Viviparus contectus) ist eine Süßwasserschnecke aus der Familie der Sumpfdeckelschnecken (Ordnung Architaenioglossa).
Viviparus contectus, common name Lister's river snail, is a species of large, freshwater snail with an operculum and a gill, an aquatic gastropod mollusk in the family Viviparidae, the river snails.
This is not a native of the UK. This species is palaearctic in distribution, specifically Europe and western Siberia, including:[3]
This large snail lives in slow flowing rivers and canals which are unpolluted, and which have hard water with many water weeds.[10]
Viviparus contectus, common name Lister's river snail, is a species of large, freshwater snail with an operculum and a gill, an aquatic gastropod mollusk in the family Viviparidae, the river snails.
Viviparus contectus
La paludine commune (Viviparus contectus) est une espèce d'escargots d'eau douce de la famille des Viviparidae. Sa coquille, d'assez grande taille est épaisse et formée de 4 à 5 tours de spires chez l'adulte. La coquille est plus grande que celle de V. viviparus.
Ce mollusque vit dans les eaux fraiches à tempérées de l'Europe, plutôt lentes. Il serait plus commun que la Paludine vivipare.
À la différence des limnées et comme certains escargots marins, les Paludines peuvent se protéger de la déshydratation derrière un opercule étanche.
L'hybridation interspécifique (entre plusieurs espèces proches) a pu être obtenue[3], au moins en laboratoire, et elle produit des hybrides féconds dans certaines configurations de croisements.
Comme son nom latin l'indique, c'est un escargot vivipare ou ovovivipare, phénomène rare chez les escargots.
C'est le naturaliste Jan Swammerdam qui semble avoir été le premier à reconnaître le caractère vivipare des paludines[4]. Il a constaté que les œufs présents dans l'oviducte de la femelle de Viviparus viviparus contenait toutes un ou deux funicules, croyant même reconnaitre dans ces œufs un chorion et un amnios, mais il n'a pas découvert comment ils se formaient, ni comment ils parvenaient dans l'utérus et ne semble pas même avoir compris qu'il existait des mâles et des femelles chez cette espèce (la plupart des autres escargots sont hermaphrodites et on a longtemps cru à une génération spontanée ou à un autofécondation chez les escargots aquatiques).
C'est le naturaliste Émile Baudelot qui a ensuite clairement distingué les deux sexes chez les paludines et qui a compris qu'il n'existait pas d'hermaphroditisme chez ces espèces
Cette espèce appartient au genre Viviparus qui appartient lui-même à la famille Viviparidae et à la sous-famille Viviparinae (dont la taxonomie est encore en cours d'étude et de développement [6]).
Elle était autrefois classée dans le genre Paludina (qui n'existe plus).
Elle est aussi classée dans le groupe informel des Architaenioglossa.
Selon l'INPN[7], cette espèce a aussi porté les noms (désuets) suivants
La coquille des paludines communes est spiralée et globalement conique, de couleur beige (sens d'enroulement : dextre). Comme celle des autres paludines, elle est plus solide et épaisse que celle des autres escargots d'eau douce européens. Elle évoque celles des ampullaires (qui ne sont cependant pas apparentées aux Paludines).
L'animal peut s’y enfermer derrière un opercule rond orné de stries concentriques, qui lui permet de se protéger - durant plusieurs mois s'il le faut - de la déshydratation. L’opercule une fois fermé affleure l’ouverture de la coquille. Quand il est ouvert, cet opercule est fixé sur la partie dorsale et arrière du pied du mollusque, pied qui est assez large et dont la couleur varie du gris au verdâtre tachetée d'orange vif.
Sa bouche comporte une radula et un siphon respiratoire s'ouvre sur le côté droit de la tête, alimentant ses branchies situées en avant du cœur. Ce siphon lui permet aussi de filtrer l'eau
Il possède deux tentacules courts ; ses yeux sont sur le côté externe de chaque tentacule.
Le sexage des individus est aisé :
La Paludine commune vit dans les eaux à faible courant de la zone dite paléarctique de l'Europe.
Cette espèce se nourrit de plancton, bactéries raclés sur le biofilm des substrats qu'elles explorent, et de plancton et microdébris en suspension dans l’eau (captés au moyen du siphon qui lui permet de respirer tout en filtrant l’eau).
Cette capacité de filtration la fait apprécier de propriétaires de bassins ou d'aquariums (elle peut toutefois y introduire certains parasites).
Comme son nom de genre scientifique le rappelle, la paludine est vivipare, et plus exactement ovovivipare.
La maturité sexuelle est atteinte au bout de deux ans, quand l’escargot mesure environ 2 cm de long. Chaque femelle porte des œufs (jusqu'à une trentaine et à tous les stades de développement) d’une taille de 3 à 7 mm de diamètre et jusqu’au développement complet de l’embryon. Au moment de leur expulsion, les jeunes mesurent environ 7 mm et leur coquille est déjà marquée des rayures caractéristiques des paludines. Après avoir produit tous ses jeunes, la femelle meurt.
Ces escargots se montrent volontiers grégaires ; on les trouve souvent en groupes plus ou moins denses (pouvant atteindre des centaines d'individus) sur des branches immergées, des pieux ou divers objets artificiels présents sous l'eau. Plus rarement, ils sont présents de manière plus dispersée dans la vase et alors beaucoup plus discrets. On les trouve aussi dans certains étangs ou pièces d’eau artificielles, des réservoir de barrage et certains bras morts de cours d’eau encore plus ou moins liés à une rivière ou à un fleuve[8].
Les paludines passent facilement l’hiver sous la glace, mais à la différence d’autres mollusques aquatiques, elles meurent si elles gèlent.
Statut de l’espèce : il est mal connu, faute d'informations. En 2014, ce taxon n'est pas protégé en France[9].
L’état et la dynamique des populations de cette espèce, et les éventuelles menaces qu’elles subit sont mal connus. L’espèce semble localement abondante, stable ou peut-être en augmentation, et pourrait être en régression ailleurs. La présence et reproduction de cette espèce nécessite certains critères de qualité de l'eau ; il se montre particulièrement sensible à la teneur de l'eau en oxygène dissous[10]
Plusieurs escargots aquatiques sont connus pour leur grande sensibilité à certains perturbateurs endocriniens, source d'imposex et en tant que racleur ou consommateurs de déchets, ils peuvent être intoxiqués par divers polluants toxiques présents dans l'eau et bioconcentrés par les algues ou bactéries, ou présents dans les sédiments (métaux lourds notamment, dont par exemple le plomb ou le cuivre [11].
Les mollusques aquatiques d'eau douce sont presque toujours porteurs de parasites (une évaluation récente (en Allemagne en 2004) a trouvé 31 espèces de trématodes dans les escargots d'eau, appartenant à dix familles (avec 29 espèces de cercaire et sept espèces de métacercaires détectées chez 311 escargots appartenant à 15 espèces différentes ; 4,9 % du total des mollusques étudiés était porteur de l'un ou l'autre ou de ces deux types de parasites). Les Paludines et cette espèce en particulier ne font pas exception : elles jouent un rôle dans le cycle de ces parasites.
La Paludine commune est l’hôte intermédiaire de plusieurs espèces de trématodes[12] (ex : Echinostoma trivolvis[13]) qui finissent souvent leurs cycle chez les oiseaux[14] ou des animaux venant s’abreuver dans les cours d’eau.
Des confusions sont possibles avec :
En 1997, des hybrides féconds ont être obtenus en laboratoire par croisement interspécifique de plusieurs espèces de Viviparus[3], mais à certaines conditions :
Des indices génétiques laissent penser que des hybridations Viviparus ater X V. contectus existent aussi dans la nature[16].
Dans les parties de cours d'eau où le courant ralentit ou tourbillonne, des dépôts de coquilles vides peuvent localement se former, qui sont de bons indices de présence de l'espèce localement ou légèrement en amont.
Plusieurs espèces du genre Viviparus sont élevées au Royaume-Uni et dans les pays germaniques pour des propriétaires de bassins et d’aquariums (d’eau froide) ; ils sont réputés y consommer les algues filamenteuses, certaines microalgues, cyanophycées et micro-déchets en suspension et ainsi contribuer à épurer et clarifier l’eau, mais peuvent être source d'introduction de certains parasites.
Cette espèce a été utilisée comme animal de laboratoire pour par exemple étudier :
Viviparus contectus
La paludine commune (Viviparus contectus) est une espèce d'escargots d'eau douce de la famille des Viviparidae. Sa coquille, d'assez grande taille est épaisse et formée de 4 à 5 tours de spires chez l'adulte. La coquille est plus grande que celle de V. viviparus.
Coquille de Viviparus contectus, dans ce cas sans bandes nettement visible Système circulatoire V. contectus Comme chez d'autres escargots de la même famille, la coquille se recouvre facilement d'un biofilm algal et bactérien, qui contribue à camoufler l'animal dans son environnementCe mollusque vit dans les eaux fraiches à tempérées de l'Europe, plutôt lentes. Il serait plus commun que la Paludine vivipare.
À la différence des limnées et comme certains escargots marins, les Paludines peuvent se protéger de la déshydratation derrière un opercule étanche.
L'hybridation interspécifique (entre plusieurs espèces proches) a pu être obtenue, au moins en laboratoire, et elle produit des hybrides féconds dans certaines configurations de croisements.
Viviparus contectus is een in het zoete water levende kieuwslak.
Schelp met ongeveer 6½ bolle iets geschouderde windingen gescheiden door een diepe sutuur, een schuin ovale aan de bovenzijde iets hoekig toelopende mondopening en een zeer scherpe top. Alleen op de topwindingen lopen 3 kielen die niet altijd even duidelijk zichtbaar zijn. De kielen zijn ook vaak afgesleten. Ze zijn een restant van de embryonale schelp, waar op deze kielen rijen haartjes stonden. Deze haartjes verdwijnen zeer snel na het uitkomen van de jonge dieren. Jongere windingen zijn volledig afgerond en vertonen alleen groeilijnen, geen sculptuur. De schelp is dunwandig en heeft een dun groenachtig periostracum. De schelp zelf is kleurloos tot wit en heeft drie bruine spiraal kleurbanden die door het periostracum heen zichtbaar zijn. Soms zijn de banden geheel afwezig. De schelp kan bedekt zijn met een dunne aanslag van algen of ijzermineralen waardoor van de eigen kleur niets te zien is. Er is een nauwe maar duidelijke navel. Deze soort heeft zoals alle moerasslakken een dun hoornachtig operculum dat concentrisch is opgebouwd.
De dieren hebben een grote kruipzool, een sterk ontwikkelde 'snuit' en een opvallende ademopening. De kleur van het lichaam is bruingrijs met oranjegele vlekjes.
De dieren zijn van gescheiden geslacht. Zoals de Latijnse naam aangeeft, zijn deze dieren levendbarend. De juiste term is eierlevendbarend (ovovivipaar) want er zijn wel eieren maar die komen in de uterus van het moederdier tot ontwikkeling. Elk ei zit in een eigen met eiwit gevuld kapsel en er kunnen gemiddeld 20 eikapsels (maximaal waargenomen: 82 stuks) per moederdier aanwezig zijn. Als de ontwikkeling van de jongen al tamelijk ver gevorderd is, dan verlaten zij het moederdier. Hun schelp is dan ongeveer 5 millimeter hoog. De embryo productie is optimaal in de maanden juni en juli, na oktober neemt dit sterk af. Bij gunstige watertemperaturen duurt het uitstoten van embryo's tot in augustus. Resterende embryo's overwinteren in het moederdier. Als het moederdier sterft dan worden eventueel aanwezige embryo's uitgestoten.
De Spitse moerasslak kan zeker tot 13 jaar oud worden, maar er bestaan aanwijzingen dat zij misschien een leeftijd van 20 jaar kan bereiken.
Meestal in permanent aanwezig (dus niet droogvallend) vrij groot en rustig water met een rijke plantengroei. Niet in stromend water. De dieren leven van algen, detritus, meestal afstervende en bij uitzondering nog levende waterplanten en aas. Daarnaast zijn zij in staat voedsel uit het water door filteren op te nemen. De soort is in staat om ook in vrij zuur water in moerassen te leven
Deze soort heeft een Europese verspreiding. In Nederland en België in de hierboven genoemde watertypen niet zeldzaam.
Bekend uit bijna alle interglacialen van het Kwartair. Van fossielen wordt vaak (door de dunwandigheid) alleen het sterkste onderdeel, in dit geval de karakteristieke spitse topwindingen als fragment gevonden. Deze topfragmenten hebben vrijwel altijd een karakteristieke oranje kleur. Overigens fossiliseert het karakteristieke kleurbandenpatroon heel slecht. Uit het Tiglien zijn platgedrukte schelpen bekend waarvan de oorspronkelijke schelphoogte ongeveer 60 millimeter moet hebben bedragen.
Viviparus contectus is een in het zoete water levende kieuwslak.
Stor ferskvannsgjellesnegl (Viviparus contectus (Millet 1813) ) er et bløtdyr og tilhører gruppen Caenogastropoda. Stor ferskvannsgjellesnegl har en nordlig utbredelse i Europa.
Skallhøyde er 40-50 millimeter og det har 5-6 vridninger. Å lese et skall vil si å holde det på en spesiell måte slik at antall vridinger kan telles og høyden kan måles. Åpningen skal vende mot deg og toppen opp. Mål er skallhøyde og nummer er vridninger.Skallet er kjegleformet og har fin tverrstruktur på tvers av vindingene. har et «lokk» på bakkroppen som de kan bruke for å lukke eller åpne et hull i skallet.
Stor ferskvannsgjellesnegl lever i ferskvann, sjeldnere i sakterennende elver. Den føder levende unger som er omtrent 7 millimeter lange.
Sneglene i denne gruppen var i eldre systematikk plassert i gruppen forgjellesnegler (Prosobranchia), Forgjellesnegler er en parafyletisk gruppe og er i nyere systematikk gjerne splittet opp i andre grupperinger. Denne inndelingen følger den europeiske faunadatabasen.[1]
Stor ferskvannsgjellesnegl (Viviparus contectus (Millet 1813) ) er et bløtdyr og tilhører gruppen Caenogastropoda. Stor ferskvannsgjellesnegl har en nordlig utbredelse i Europa.
Żyworodka pospolita a. jeziorowa (Viviparus contectus) - żyworodny ślimak słodkowodny z rodziny żyworodkowatych (Viviparidae).
Do charakterystycznych cech należą: z reguły dobrze widoczny dołek osiowy, głęboko wcięty szew i wyraźnie, schodkowato oddzielone od siebie skręty skrętki. Mają zielonobrązową muszlę o wysokości od 30 do 50 mm i szerokości od 25 do 35 mm. Dość charakterystyczną cechą tego gatunku jest ostro (kłująco) zakończony szczyt muszli. Podobnie jak u żyworodki rzecznej wzdłuż skrętów muszli ciągną się 3 czerwonobrunatne paski a ciemno ubarwione ciało pokrywają złoto pomarańczowe plamki. Otwór szeroko jajowaty, w górze obły i na niewielkim odcinku ciągnie się wzdłuż przedostatniego skrętu. Ślimak w wodach płynących osiąga mniejsze rozmiary niż w wodach stojących. Muszle osobników żyjących w zbiornikach o mulistym dnie są ciemniej ubarwione niż tych żyjących na dnie piaszczystym. Ślimaki te zamieszkują wody stojące lub wolno płynące z bujną roślinnością i mulistym dnem. Mogą występować w wodach o zasoleniu do 4‰. W okresach cieplejszych ślimaki gromadzą się wśród roślin i blisko powierzchni wody - tam gdzie jest więcej tlenu. Rozmnażanie odbywa się podobnie jak u drugiego gatunku. Rodzące się w lipcu ślimaki mają 5-7 mm wielkości i są pokryte spiralnymi rzędami włosków wśród których 3 rzędy mają włoski dłuższe niż pozostałe. Żyją do 10 lat.
Żyworodka pospolita a. jeziorowa (Viviparus contectus) - żyworodny ślimak słodkowodny z rodziny żyworodkowatych (Viviparidae).
Muszla żyworódki pospolitej. Otwór przykryty wieczkiemDo charakterystycznych cech należą: z reguły dobrze widoczny dołek osiowy, głęboko wcięty szew i wyraźnie, schodkowato oddzielone od siebie skręty skrętki. Mają zielonobrązową muszlę o wysokości od 30 do 50 mm i szerokości od 25 do 35 mm. Dość charakterystyczną cechą tego gatunku jest ostro (kłująco) zakończony szczyt muszli. Podobnie jak u żyworodki rzecznej wzdłuż skrętów muszli ciągną się 3 czerwonobrunatne paski a ciemno ubarwione ciało pokrywają złoto pomarańczowe plamki. Otwór szeroko jajowaty, w górze obły i na niewielkim odcinku ciągnie się wzdłuż przedostatniego skrętu. Ślimak w wodach płynących osiąga mniejsze rozmiary niż w wodach stojących. Muszle osobników żyjących w zbiornikach o mulistym dnie są ciemniej ubarwione niż tych żyjących na dnie piaszczystym. Ślimaki te zamieszkują wody stojące lub wolno płynące z bujną roślinnością i mulistym dnem. Mogą występować w wodach o zasoleniu do 4‰. W okresach cieplejszych ślimaki gromadzą się wśród roślin i blisko powierzchni wody - tam gdzie jest więcej tlenu. Rozmnażanie odbywa się podobnie jak u drugiego gatunku. Rodzące się w lipcu ślimaki mają 5-7 mm wielkości i są pokryte spiralnymi rzędami włosków wśród których 3 rzędy mają włoski dłuższe niż pozostałe. Żyją do 10 lat.