Eucidaris metularia, the ten-lined urchin, is a species of sea urchins in the family Cidaridae. It is found in shallow parts of the Indo-Pacific Ocean and is characterised by its sparse covering of banded, flat-tipped spines.
Eucidaris metularia is a primitive species of sea urchin and comes from an ancient lineage that has hardly changed over the past 150 million years. The test is robust and somewhat flattened and up to 3 cm (1.2 in) in diameter. The ambulacra are almost straight and have horizontal pairs of pores. The primary spines are few in number, stout with a truncated tip and distinctively banded. The secondary spines surround the primaries and are more numerous, much smaller and flattened.[2][3]
Eucidaris metularia is found in shallow parts of the Indo-Pacific Ocean. Its range includes the Red Sea, East Africa, Madagascar, the Seychelles, Aldabra and Chagos[1] and extends as far east as Fiji, Hawaii, Japan, and northern Australia. It is a common species among seagrasses and in rocky back-reef lagoons, usually in shallow water, but sometimes at depths of down to 500 metres (1,600 ft).[4] It also occurs under rocks and in crevices.[5]
The spines of Eucidaris metularia help it to avoid predation and are also used for moving across the sea bed. They often have bits of seaweed adhering to them which provides camouflage.[6] This sea urchin feeds on algae, including coralline algae, and scavenges for organic detritus which it chews up with its powerful jaws. It also feeds on sponges, bryozoans and other small invertebrates.[7]
Sea urchins release their gametes into the sea where external fertilization takes place. The larvae are planktonic and drift with the currents. The larvae of Eucidaris metularia and other members of the genus Eucidaris have distinctive fleshy lobes which enables them to be distinguished from other echinoid larvae. At metamorphosis, which takes place after the larvae have settled on the seabed, the rearrangement of tissues is much less extensive in these primitive species than is the case in more advanced echinoids. [8]
Eucidaris metularia was one of several sea urchins used in research designed to examine the feasibility of using non-invasive magnetic resonance imaging technology to study internal anatomy.[9] MRI was found to be a useful tool for comparative studies of the morphology of echinoids which extended the range of techniques available for use without destroying the specimen.[9]
Eucidaris metularia, the ten-lined urchin, is a species of sea urchins in the family Cidaridae. It is found in shallow parts of the Indo-Pacific Ocean and is characterised by its sparse covering of banded, flat-tipped spines.
Oursin-mine
L’oursin-mine (Eucidaris metularia) est une espèce d'oursin tropical de la famille des Cidaridae.
C'est un petit oursin régulier, dont la coquille (appelée « test »), aplatie dorsalement, ne dépasse pas 3 cm[1]. Celle-ci est protégée tout d'abord par des « radioles primaires » (les piquants les plus longs) clairsemées mais longues, épaisses et robustes, à la pointe émoussée et parfois terminée par une couronne, le plus souvent colorées de rouge strié de beige mais en général recouvertes d'épibiontes (algues, corallinales...) qui les font apparaître grises, surtout les plus anciennes (celles de la moitié inférieure). Elles sont implantées sur de gros tubercules perforés très protubérants, protégés par de petites radioles secondaires blanches ou rouges. Les ambulacres sont marqués par une raie blanche bordée de radioles secondaires brun-rouge. Le système apical (organes situés au sommet du test de l'animal, dont l'anus), large et pentagonal, est dépourvu de radioles primaires et très décoré de plaques à motifs géométriques rouges et blancs, mettant en évidence les cinq plaques génitales légèrement orangées et liserées de blanc[1],[2].
Avec ses piquants épais, Eucidaris metularia est typique des « oursins-crayons » : il peut être confondu avec ses congénères Phyllacanthus imperialis (moins coloré), Prionocidaris baculosa (test plus sombre et radioles couvertes d'épines secondaires), Heterocentrotus mammillatus (plus rouge, épines nues) et Heterocentrotus trigonarius (idem)[1]. Dans la plupart des cas, ses radioles courtes, tronquées et tubulaires sont bien caractéristiques et permettent de discriminer l'oursin-mine.
Cet oursin typiquement tropical se trouve principalement dans l'ouest de l'océan Indien, notamment sur la côte est-africaine et de la mer Rouge à Madagascar. Cependant, on peut aussi le trouver épisodiquement jusque dans le Pacifique Ouest, notamment en Australie et en Nouvelle-Calédonie[2].
On rencontre cet oursin dans les écosystèmes coralliens, que ce soit sur les platiers, sur les récifs, sur les rochers ou dans les herbiers, entre 5 et 40 m de profondeur[2]. Il vit caché dans ces trous ou des anfractuosités pendant la journée[1].
De mœurs nocturnes, il sort de sa cachette à la tombée de la nuit pour se nourrir. C'est un brouteur omnivore et détritivore, qui se nourrit aussi bien d'algues que d'algues encroutantes, mais aussi occasionnellement d'éponges, de bryozoaires, d'ascidies, de charognes et de détritus. Il broie sa nourriture au moyen de sa mâchoire puissante appelée « lanterne d'Aristote »[1].
La reproduction est gonochorique, et mâles et femelles relâchent leurs gamètes en même temps en pleine eau, où œufs puis larves vont évoluer parmi le plancton pendant quelques semaines avant de se fixer[1].
Contrairement à la plupart de ses congénères, cet oursin ne présente pas de danger pour l'homme vu que ses piquants ne sont pas pointus. Par ailleurs sa taille, ses mœurs cryptiques et ses couleurs vives limitent les risques de marcher dessus par inadvertance. Il n'est d'aucune valeur commerciale, et ne semble consommé dans aucun pays de son aire de répartition.
Cet oursin doit son surnom à sa ressemblance avec une mine marine. Il arrive même que certains gros individus affolent les observateurs ignorants et provoque la mobilisation d'unités de déminage[3].
Cet animal a été utilisé en recherche scientifique pour évaluer l'utilisation de la technologie IRM pour l'étude de l'anatomie interne des animaux[4].
Oursin-mine
L’oursin-mine (Eucidaris metularia) est une espèce d'oursin tropical de la famille des Cidaridae.
Eucidaris metularia Lamark, 1816[1] è un riccio di mare appartenente alla famiglia Cidaridae. Si trova nelle acque poco profonde dell'Indo-Pacifico ed è caratterizzato da una copertura rada di spine a punta piatta.
È una specie piuttosto primitiva; è robusta e ha una forma piuttosto appiattita. Non supera i 3 cm di diametro. Le spine principali sono poche, con la punta tronca e striate. Le spine secondarie circondano le principali e sono molto più numerose, decisamente più piccole e appiattite[2]. La funzione principale delle sue spine è la protezione dai predatori, ma sono utilizzate anche per muoversi. Spesso su di esse crescono delle alghe che contribuiscono a nascondere il riccio[3].
Si trova in zone poco profonde dell'oceano Indiano e dell'oceano Pacifico. È diffuso nel Mar Rosso, lungo le coste dell'Africa orientale, Madagascar, Seychelles, Aldabra e Chagos[1], Figi, Hawaii, Giappone e Australia settentrionale. Si trova soprattutto nelle zone ricche di vegetazione acquatica con substrato roccioso, solitamente in acque poco profonde, anche se può vivere anche 500 m sotto il livello del mare[2]. È comune negli anfratti rocciosi[4].
Questo riccio di mare si nutre di alghe e alghe coralline, ma si nutre anche di spugne, briozoi e altri piccoli invertebrati.
Come tutti gli altri ricci, durante la riproduzione questa specie rilascia i suoi gameti in mare, dove la avviene la fecondazione. Le larve sono planctoniche e vengono trasportate dalle correnti. Le larve di E. metularia e degli altri membri del genere Eucidaris si distinguono per i lobi carnosi. In seguito le larve si depositano sul fondo del mare e si ha una metamorfosi, anche se minore di quella che avviene in ricci meno primitivi[5].
Eucidaris metularia Lamark, 1816 è un riccio di mare appartenente alla famiglia Cidaridae. Si trova nelle acque poco profonde dell'Indo-Pacifico ed è caratterizzato da una copertura rada di spine a punta piatta.
Eucidaris metularia is een zee-egel uit de familie Cidaridae.
De wetenschappelijke naam van de soort werd in 1816 gepubliceerd door Jean-Baptiste de Lamarck.
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