Die Zypern-Maus (Mus cypriacus) ist eine im Jahr 2004 von dem französischen Zoologen Thomas Cucchi beschriebene Art der Nagetiere (Rodentia), die endemisch auf Zypern lebt.
Die Exklusivmerkmale gegenüber anderen Mäusearten sind der größere Schädel mit größeren Ohren, Zähnen und Augen. Das Fell ist grau gefärbt. Die DNA der Zypern-Maus weicht ebenfalls von der DNA der anderen Mäuse ab.
Durch Knochenvergleiche gelang Cucchi der Nachweis, dass die Maus bereits seit 9.000 Jahren, und damit einige tausend Jahre vor der Besiedlung durch den Menschen im Neolithikum (Jungsteinzeit), auf Zypern lebt. Als einziges endemisches Nagetier der Mittelmeerinseln hat sie die Ankunft des Menschen und der von ihm mitgebrachten ortsfremden Tiere überlebt.
Bevorzugter Lebensraum der Zypern-Maus ist das im Westen der Insel gelegene Troodos-Gebirge, dort speziell in den Weinbergen.
Die Neuentdeckung eines Säugetieres in einem als gut erforscht geltenden Gebiet war für die Forschung eine Überraschung. Als bislang letztes Säugetier in Europa war im Jahr 2001 eine Fledermausart in Griechenland und Ungarn gefunden worden.
Cucchi berichtete im September 2006 im Fachmagazin Zootaxa von seiner Entdeckung.[1]
Die Zypern-Maus (Mus cypriacus) ist eine im Jahr 2004 von dem französischen Zoologen Thomas Cucchi beschriebene Art der Nagetiere (Rodentia), die endemisch auf Zypern lebt.
Die Exklusivmerkmale gegenüber anderen Mäusearten sind der größere Schädel mit größeren Ohren, Zähnen und Augen. Das Fell ist grau gefärbt. Die DNA der Zypern-Maus weicht ebenfalls von der DNA der anderen Mäuse ab.
Durch Knochenvergleiche gelang Cucchi der Nachweis, dass die Maus bereits seit 9.000 Jahren, und damit einige tausend Jahre vor der Besiedlung durch den Menschen im Neolithikum (Jungsteinzeit), auf Zypern lebt. Als einziges endemisches Nagetier der Mittelmeerinseln hat sie die Ankunft des Menschen und der von ihm mitgebrachten ortsfremden Tiere überlebt.
Bevorzugter Lebensraum der Zypern-Maus ist das im Westen der Insel gelegene Troodos-Gebirge, dort speziell in den Weinbergen.
Die Neuentdeckung eines Säugetieres in einem als gut erforscht geltenden Gebiet war für die Forschung eine Überraschung. Als bislang letztes Säugetier in Europa war im Jahr 2001 eine Fledermausart in Griechenland und Ungarn gefunden worden.
Cucchi berichtete im September 2006 im Fachmagazin Zootaxa von seiner Entdeckung.
The Cypriot mouse (Mus cypriacus) is a species of mouse endemic to Cyprus.[2][3] Its primary habitat seems to be the vineyards and fields of the Troödos Mountains region.[4]
The mouse was recognized as a new species in 2004 by Thomas Cucchi, a research fellow at the University of Durham. It was formally described in 2006, in the journal Zootaxa.[5][4]
The Cypriot mouse has characteristics that distinguish it from other European mice: bigger ears, eyes and teeth;[6] DNA tests confirmed that it was a distinct species.[7] Its closest relative is Mus macedonicus, native to southeastern Europe through the Levant.[8]
"All other endemic mammals of Mediterranean islands died out following the arrival of man, with the exception of two species of shrew. The new mouse of Cyprus is the only endemic rodent still alive, and as such can be considered as a living fossil," said Cucchi.[4] Originally, Cucchi wanted to call it Mus Aphrodite, as Cyprus is the birthplace of Aphrodite according to Greek mythology.
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The mouse was recognized as a new species in 2004 by Thomas Cucchi, a research fellow at the University of Durham. It was formally described in 2006, in the journal Zootaxa.
The Cypriot mouse has characteristics that distinguish it from other European mice: bigger ears, eyes and teeth; DNA tests confirmed that it was a distinct species. Its closest relative is Mus macedonicus, native to southeastern Europe through the Levant.
"All other endemic mammals of Mediterranean islands died out following the arrival of man, with the exception of two species of shrew. The new mouse of Cyprus is the only endemic rodent still alive, and as such can be considered as a living fossil," said Cucchi. Originally, Cucchi wanted to call it Mus Aphrodite, as Cyprus is the birthplace of Aphrodite according to Greek mythology.
El ratón chipriota o ratón de Chipre (Mus cypriacus) es una especie de roedor miomorfo de la familia Muridae endémica de Chipre y el único mamífero terrestre descubierto en Europa en los últimos cien años.
El ratón fue descubierto por el científico francés Thomas Cucchi de la Universidad de Durham en el año 2004, y descrito con más precisión en 2006. Se encuentra únicamente en la isla de Chipre, concretamente en las montañas Troodos, la principal cordillera chipriota.
Habita en los campos, zonas con arbustos y viñedos entre los 100 y los 900 metros sobre el nivel del mar, siendo de mayor tamaño que los ratones comunes.
El ratón chipriota o ratón de Chipre (Mus cypriacus) es una especie de roedor miomorfo de la familia Muridae endémica de Chipre y el único mamífero terrestre descubierto en Europa en los últimos cien años.
La souris de Chypre (Mus cypriacus, Cucchi, Orth, Auffray, Renaud, Fabre, Catalan, Hadjisterkotis, Bonhomme & Vigne, 2006[1]) est un rongeur endémique de Chypre de la famille des muridés[2]. Elle a été décrite dans plusieurs localités du sud et du nord de Chypre, suggérant qu'elle occupe l'ensemble de l'île. Elle y est sympatrique de la souris domestique (Mus musculus) mais, contrairement à celle-ci, la souris de Chypre n'est pas trouvée dans les habitations humaines.
Sur Chypre, Mus cypriacus a longtemps été confondu avec la souris de Macédoine (Mus macedonicus) qui occupe la partie orientale du bassin méditerranéen des Balkans jusqu'à l'Iran, et vers Israël au Sud. D'un point de vue phylogénétique, elle reste très proche de Mus macedonicus.
Mus cypriacus a l'allure classique des espèces de souris. Elle a un pelage dorsal de type agouti, avec un pelage ventral plus clair. Par rapport aux autres espèces européennes de souris, ses oreilles sont larges, et ses yeux protubérants. La longueur de sa queue est inférieure à celle du corps + tête, ce qui la distingue de la souris domestique qui présente une queue plus longue que celle du corps + tête. Elle présente le caryotype standard des souris du genre Mus de 2n=40 chromosomes.
Elle a été décrite en deux étapes. Une première publication[3] en 2004 a indiqué, sur la base de marqueurs moléculaires, la présence d'une nouvelle espèce à Chypre, distincte de la souris domestique, et différente de la souris de Macédoine décrite jusqu'alors à Chypre. La deuxième publication[1], en 2006, est la description formelle de la nouvelle espèce. La description de nouvelles espèces de mammifères dans l'union européenne restant un évènement peu fréquent, l'annonce de la découverte de la souris de Chypre a fait l'objet d'une couverture presse importante[4].
Mus cypriacus occupe les terrasses abandonnées, les vignes, les prairies, et le maquis jusqu'à une altitude de 900 mètres. Elle est également trouvée dans les ripisylves à basse altitude. Elle semble toutefois exclue des zones très anthropiques. La distribution des deux espèces de souris de Chypre est à ce titre très proche de ce qui est observée au Levant entre la souris domestique et la souris de Macédoine[5].
L'île de Chypre est isolée du continent depuis la crise messinienne (6 à 5,3 millions d'années). Or, sur la base des données moléculaires, le temps de divergence entre Mus Cypriacus et Mus macedonicus est estimé à 0,5 million d'années. Cette période correspond à la glaciation de Mindel durant laquelle la distance de Chypre au continent était réduite. La colonisation de Chypre aurait vraisemblablement été rendue possible grâce à des radeaux naturels. La souris de Chypre est l'une des rares espèces de mammifères endémiques des îles méditerranéennes à avoir survécu à la colonisation humaine.
La souris de Chypre (Mus cypriacus, Cucchi, Orth, Auffray, Renaud, Fabre, Catalan, Hadjisterkotis, Bonhomme & Vigne, 2006) est un rongeur endémique de Chypre de la famille des muridés. Elle a été décrite dans plusieurs localités du sud et du nord de Chypre, suggérant qu'elle occupe l'ensemble de l'île. Elle y est sympatrique de la souris domestique (Mus musculus) mais, contrairement à celle-ci, la souris de Chypre n'est pas trouvée dans les habitations humaines.
Sur Chypre, Mus cypriacus a longtemps été confondu avec la souris de Macédoine (Mus macedonicus) qui occupe la partie orientale du bassin méditerranéen des Balkans jusqu'à l'Iran, et vers Israël au Sud. D'un point de vue phylogénétique, elle reste très proche de Mus macedonicus.
Il topo cipriota (Mus cypriacus Cucchi & Al., 2006) è un roditore della famiglia dei Muridi endemico dell'isola di Cipro.[1]
Roditore di piccole dimensioni, con la lunghezza della testa e del corpo tra 75 e 91 mm, la lunghezza della coda tra 63 e 87 mm, la lunghezza del piede tra 15,1 e 18,5 mm e la lunghezza delle orecchie tra 13,6 e 16,8 mm.[2]
Le parti superiori sono marroni, con dei riflessi color ocra lungo i fianchi, mentre le parti ventrali variano dal bianco al bianco-grigiastro. Le orecchie sono grandi e allungate, ricoperte di piccoli peli bianchi nella parte interna. Gli occhi sono grandi e sporgenti. Le zampe sono rosate. La coda è più lunga della testa e del corpo. Le femmine hanno tre paia di mammelle pettorali e due paia inguinali. Il cariotipo è 2n=40 FN=40.
È una specie terricola.
Questa specie è endemica delle zone collinari e montane dell'isola di Cipro.
Vive in colture abbandonate tra 300 e 900 metri di altitudine, dove la vegetazione consiste in boscaglie, prati e boschi di piccoli alberi. Si trova anche in aree forestali fluviali. È praticamente assente sotto i 100 metri di altitudine dove la presenza umana è più intensa e dove il topo domestico è la specie dominante.
La IUCN Red List, considerato che è abbastanza comune nel suo habitat ed è priva di reali minacce, classifica M.cypriacus come specie a rischio minimo (LC).[1]
Il topo cipriota (Mus cypriacus Cucchi & Al., 2006) è un roditore della famiglia dei Muridi endemico dell'isola di Cipro.
O rato-cipriota (Mus cypriacus) é um rato que tem a cabeça, orelhas, olhos e dentes maiores do que as demais espécies catalogadas até 2006. Tal espécie de rato foi descoberta por Thomas Cucchi, um cientista francês da Universidade de Durham quando estava estudando as arcadas de ratos da Idade da Pedra.
É endêmica do Chipre.
O rato-cipriota (Mus cypriacus) é um rato que tem a cabeça, orelhas, olhos e dentes maiores do que as demais espécies catalogadas até 2006. Tal espécie de rato foi descoberta por Thomas Cucchi, um cientista francês da Universidade de Durham quando estava estudando as arcadas de ratos da Idade da Pedra.
É endêmica do Chipre.
키프로스쥐(Mus cypriacus)는 쥐과 생쥐속에 속하는 설치류의 일종이다.[2] 키프로스의 토착종이다. 트루도스 산맥의 포도밭이나 들판에서 주로 서식하는 것으로 추정된다.[3] 2004년 더럼 대학교 연구원 쿠치(Thomas Cucchi)가 신종으로 동정했다. 2006년 국제동물분류학회지인 "주택사"(zootaxa)에 공식적으로 기술되었다.[3] 키프로스쥐는 다른 유럽쥐와 달리 귀와 눈 그리고 이빨이 크다.[4] DNA 분석을 통해 별도의 종으로 확인되었다.
키프로스쥐(Mus cypriacus)는 쥐과 생쥐속에 속하는 설치류의 일종이다. 키프로스의 토착종이다. 트루도스 산맥의 포도밭이나 들판에서 주로 서식하는 것으로 추정된다. 2004년 더럼 대학교 연구원 쿠치(Thomas Cucchi)가 신종으로 동정했다. 2006년 국제동물분류학회지인 "주택사"(zootaxa)에 공식적으로 기술되었다. 키프로스쥐는 다른 유럽쥐와 달리 귀와 눈 그리고 이빨이 크다. DNA 분석을 통해 별도의 종으로 확인되었다.