Lavatera es un género con solo una decena de especies aceptadas, de las 110 descritas,[2] de plantas de flores perteneciente a la familia Malvaceae.
En honor de los hermanos Lavater, Johann Heinrich (1611-1691) y Johann Jacob (1594-1636), médicos y naturalistas Suizos[7]
El género incluye plantas herbáceas anuales, bienales y perenne y arbustos o, a veces, árboles que alcanzan 1-3 metros de altura. Las hojas, estipuladas, son alternas y organizadas en espiral y son generalmente redondeadas a palmada-lobuladas. Las flores pueden ser solitarias o en fascículos axilares, con un calículo/epicáliz de 3 piezas más o menos soldadas entre sí y un cáliz, pentamero, de sépalos también más o menos soldados. La corola mide 4-12 cm de diámetro, con cinco pétalos blancos, rosados o rojos, excepcionalmente amarillos. El fruto es un esquizocarpo con pocos o numerosos mericarpos monospermos reniformes, de pericarpo liso o rugoso, frecuentemente indehiscentes; son recubiertos o no por una excrecencia disciforme del carpóforo, que es la prolongación columnar del receptáculo y que soporta los carpelos del gineceo.[8]
Género nativo de la región del Mediterráneo, este y centro de Asia, Norteamérica y Australia -según la aceptación que se da al género- y con sus especies generalmente muy localizadas geográficamente.
Especies de Lavatera son alimento para las larvas de algunas especies de Lepidopteras, incluyendo Bucculatrix lavaterella, que come exclusivamente de esta planta. Existen también casos de mutualismo, como es el de Lavatera triloba con el Coleóptero (Cerambycidae, Clytini) Plagionotus andreui[9]
Lavatera es un género con solo una decena de especies aceptadas, de las 110 descritas, de plantas de flores perteneciente a la familia Malvaceae.
Nota: el género Lavatera ha sido siempre un género problemático, pues la diferenciación clásica con el género Malva se basó en el carácter discutible, y discutido, de la soldadura o no soldadura de las piezas del epicáliz. Recientes estudios micromorfológicos de los mericarpios y análisis del ADN, han descartado la validez de dicho carácter y han conducido a transferir un cierto número de especies del género Lavatera al género Malva.Más recientemente, autores han ido todavía más lejos y consideran los dos géneros como meros sinónimos -Malva quedando el único válido de los dos- y para quienes los géneros Bismalva Medik., Lavatera L., Navaea Webb & Berthel., Saviniona Webb & Berthel. y Stegia DC. son sinonimias de Malva.Lavatera
Le genre botanique Lavatera (les lavatères) regroupe diverses plantes surtout méditerranéennes, même si certaines espèces poussent aussi le long des côtes atlantiques. Elles appartiennent à la famille des Malvaceae et sont très proches des mauves et des guimauves. La différence visuelle se fait surtout au niveau du calicule (ou épicalice), dont les trois genres sont pourvus :
L'une des espèces les plus connues du genre fut longtemps la mauve royale (alors nommée Lavatera arborea). Une révision taxonomique en 1998 l'a retirée du genre, ainsi que d'autres espèces. Elle a pris, dès lors, le nom scientifique de Malva dendromorpha.
Le nom botanique des lavatères s'explique car ces plantes ont été dédiées à deux frères médecins botanistes de Zurich, amis de Tournefort qui leur dédia le genre[1].
Les lavatères sont des plantes au port arbustif, parfois annuelles ou vivaces, mais le plus souvent bisannuelles ou vivaces de courte durée (4 ou 5 ans). Plus ou moins hautes (leur taille peut atteindre, selon les variétés, 3 mètres de hauteur), elles ont une croissance rapide, pouvant atteindre plus de 2 m en quelques mois. Les rameaux partent de la souche ligneuse et se couvrent d'un feuillage persistant à semi-persistant dans les régions plus froides. De couleur gris-vert, les feuilles suborbiculaires sont à lobes palmés et peu profonds. Elles se distinguent par la couleur des fleurs (le plus souvent blanc rosé et pourpre à l’onglet), des feuilles (presque rondes) et des fruits glabres et ridés à plus de 5 graines.
Toutes les Malvacées sont potentiellement comestibles, mais plus spécialement les Lavatères qui ne sont pas très goûteuses mais sont abondantes et disponibles toute l'année. Les jeunes feuilles sont tendres, et le restent parfois même passée leur prime jeunesse. Les feuilles et les tiges se consomment crues (base aux salades) ou cuites (en légume, soupe ou bouillon, « fondue végétale », gratin, omelette, tarte). Cependant leur texture très mucilagineuse n'est pas goûtée de tous. Les pétales de fleurs se consomment crus, par exemple en salade ou en dessert. Lorsqu'il est jeune et tendre, le petit fruit, populairement nommé « fromage », « fromaget » ou « fromageon » au goût de noisette, est traditionnellement consommé dans les campagnes[2].
Lavatera
Lavatère d'Hyères Le genre botanique Lavatera (les lavatères) regroupe diverses plantes surtout méditerranéennes, même si certaines espèces poussent aussi le long des côtes atlantiques. Elles appartiennent à la famille des Malvaceae et sont très proches des mauves et des guimauves. La différence visuelle se fait surtout au niveau du calicule (ou épicalice), dont les trois genres sont pourvus :
Mauve : calicule à 3 folioles libres. Guimauve : calicule à 6-9 folioles soudées à la base. Lavatère : calicule à 3 folioles soudées à la base.L'une des espèces les plus connues du genre fut longtemps la mauve royale (alors nommée Lavatera arborea). Une révision taxonomique en 1998 l'a retirée du genre, ainsi que d'autres espèces. Elle a pris, dès lors, le nom scientifique de Malva dendromorpha.
Lavatera L. é um género botânico pertencente à família Malvaceae.
Trata-se de um género aceite por sistema Angiosperm Phylogeny Website.[1]
Em Portugal este género é representado pelos seguintes táxones, todas presentes e nativas de Portugal Continental. Lavatera trimestris encontra-se também introduzida nos Açores:[2]
Lavatera L. é um género botânico pertencente à família Malvaceae.
Trata-se de um género aceite por sistema Angiosperm Phylogeny Website.
